Dans les établissements en crise, insécurité de l’emploi, intensité du travail, marges de manœuvres réduites et tension des rapports sociaux se conjuguent et dégradent les conditions de travail. Dans ceux connaissant des fluctuations importantes d’activité, l’intensité du travail est forte également et l’autonomie est limitée. Dans les établissements « restructurés », on craint encore pour son emploi.
Seuls les salariés des établissements en croissance connaissent moins d’insécurité d’emploi et moins de tensions au travail.
Source :
Dares Analyses – juin 2015 – N° 044 -
Risques psychosociaux et situation économique des entreprises