Le premier décret définit dans quelles conditions on pourra cesser les traitements et mettre en œuvre une « sédation profonde et continue jusqu’au décès ».
Le deuxième décret concerne les « directives anticipées » que toute personne peut rédiger ou indiquer à une personne de confiance concernant sa fin de vie. Le ministère de la santé mettra en œuvre une campagne d’information sur ce thème d’ici la fin de l’année.